Pemière préparation CCI

Ayant déjà participé au programme CyberJeunes une fois, je me sauve de la formation Netcorps-CyberJeunes (heureusement car l’an passé c’était assez long merci.) Toutefois j’ai dû me présenter aux rencontres de CCI qui avaient lieu en fin de semaine passée à leur bureau sur St-Denis. J’ai rencontré brièvement les autres stagiaires, qui seront répartis dans 3 pays d’Afrique : Niger, Mali et Sénégal. On sera trois au Sénégal ; moi à Dakar, une fille dans un village à 3H de la capitale et un autre gars qui sait pas trop ou il va (dont je m’étonnais que ca ne le préocuppe pas plus que ca...)

D’abord on en a appris un peu plus sur comment se déroulera le programme (voir post suivant sur les différences entre JCM et CCI). Ensuite il a fallu se forcer à rester éveillés lors du long exposé blasant sur la communication et limportance de la durabilité des connaissances enseignées.

La première journée s’est conclue par une présentation très intéressante sur la santé en Afrique. Eau : Bien important de ne jamais boire l’eau du robinet. Certains n’auront l’accès qu’à un puit avec un sceau douter qui traîne un peu partout. Ouf vivement les grandes villes. Nourriture : Pas de salade! Argg! Vais-je survivre 4 mois sans salade? Malaria : Repellent, moustiquaires et médicaments. Bibittes : En général, beaucoup de grosses coquerelles partout, c’est possible de croiser des serpents ou scorpions, mais les locaux les spottent de loin. La principale raison pourquoi les étrangers se font rapatrier : les accidents. Suffit d’être prudente, de savoir traverser les rues cahotiques (skill développé à Quito). Conclusion encourageante : La dame qui nous parlait nous a dit qu’en 15 voyages de plusieurs mois en Afrique elle n’avait jamais été malade!

La deuxième journée commence par la signature de formulaires. Ensuite on a rencontré un ancien stagiaire selon le pays ou on allait. Alexis nous parlait de son expérience... Il m’a un peu inquiétée quand il a raconté que lorqu’il était arrivé il y avait 2 chambres : une pour les parents, une pour les 6 enfants. La famille lui avait improvisé un lit dans le milieu du salon et il n’avait aucune place pour ranger ses effets personels. Il s’était entendu avec la famille pour se louer une chambre à part à 100m de la maison. Oufff ; est ce que c’était vraiment une situation envisageable? Je commencais à stresser... Heureusement Sylvain (le coordonateur) me rassura que c’était impossible qu’une telle situation passe et me promit d’avertir personellement le partenaire qui s’occupera de moi.